Confession : Amer Kamer avoue avoir épousé une française de l’âge de sa grand-mère pour avoir les papiers !

Le cas de l’activiste Billy Akele, en détresse en Europe, a remis au gout du jour la problématique de la situation chaotique des camerounais de la diaspora.
Dans une récente tribune, c’est au tour de son confrère Amer Kamer de se confier sur leur misère, non sans évoquer toutes les manœuvres qu’ils sont obligés d’user pour tirer leur épingle du jeu.

Dans une récente sortie sur sa page officielle, Amer Kamer raconte comment plusieurs de ses compatriotes sont obligés de demander à leurs filles et sœurs de se prostituer pour subvenir aux besoins de la famille.

Les hommes, pour régulariser leurs situations, vont à la conquête de vielles blanches en quête de sensations fortes et de seconde jeunesse.
Cette situation, Biya Amer Kamer l’a vécue. Sa première femme, il l’avait épousée pour régulariser sa situation en Europe.

« Tu es obligée sortir avec ton arrière-grand-mère parce que ton frère t'a donné deux jours pour libérer la maison. Toi-même tu es conscient que tu sors avec la grande sœur de ta grand-mère. J'ai vécu cela. Ma première femme faisait 140 kg, 1,57m. Elle était née en 1953. Il fallait voir comment je pilotais. Je ne me suis pas marié parce je l'aimais. C'est parce que j'avais des problèmes », a confessé l’activiste.

Notons toutefois que sur le plan juridique, si l'un des conjoints s'engage uniquement dans un intéret financier, c'est-à-dire avec pour seul but d'appréhender le patrimoine de l'autre, l'époux floué peut demander la nullité du mariage pour défaut d'intention matrimonial.
La semaine passée, une camerounaise a été condamnée au Québec à verser la somme de 20 000 euros à son mari, accusée d’avoir abusé de sa naïveté pour obtenir le visa.