‘’ J’ai une résidence à Paris, à Londres… ‘’ Traitée de SDF, Calixthe Beyala fait l’étalage de sa fortune !

 

L’écrivaine Calixthe Beyala a une fois de plus maille à partir avec la presse camerounaise.
Après avoir porté plainte contre un site de la place, qui avait annoncé que la franco-camerounaise avait été expulsée de son hôtel à Paris, elle répond à ses détracteurs en apportant les preuves de son aisance financière. 

Pour réfuter les allégations de ‘’ pauvreté ‘’, Calixte Beyala énumère sur sa page Facebook ce mardi 4 mai 2021, ses biens immobiliers en  Europe et au Cameroun.

‘’ Dites donc à mon coépoux que je ne suis pas comme lui, Que Je n’attends pas que notre époux me paie un loyer, ce qui est son cas ; Que je possède une résidence à Paris, une à Douala, une à Londres ‘’, publie l’écrivaine sur son compte Facebook.

 ‘’ Et ceux qui ont des photos de chez moi – et c’est la plupart des africain-français – sont autorisés à les diffuser- allô, Allain  Jules Menye. Dites donc à mon coépoux,  que je n’attends pas après trois piges d’une radio  pour manger ; j’ai gagné suffisamment d’argent avec mes bestsellers pour vivre sans travailler pour le restant de mes jours ‘’, poursuit-elle.

Tout porte à croire que ce message est une réponse implicite au journaliste Rémy Ngono, qui a récemment remis en doute la situation financière de Beyala.

 « Je vous ai laissé raconter des bobards pendant trop longtemps sans réagir, vous voyez, je peux vous donner coup pour coup ! Des mecs passent leur temps à me disputer un homme, wonderfull ! Ils prennent des camerounais à témoins en faisant croire que c’est de la politique ! Ils envoient me violer pour m’humilier, ça échoue, tente de brûler ma résidence, ça échoue et continuent sur les réseaux sociaux ! J’appartiens à quel parti politique ? Où ? Quand ? Dites la vérité à tout le monde et fichez la paix au peuple ! », souligne Beyala.

Il faut dire que les deux personnages sont en mauvais termes, depuis un certain temps.
Et pour cause, le journaliste de la RFI harcèle l’auteure sur les réseaux sociaux, pour lui demander la libération de Paul Chouta.