Coup de tonnerre ! Craignant pour sa vie, Clarence Yondo porte de graves accusations envers Serge Matomba !
Le contentieux qui oppose l’ex-journaliste de la Canal 2 Clarence
Yondo au politicien Serge Espoir Matomba connait un nouveau rebondissement.
Une histoire de dette qui a pris une tournure inattendue, contraignant la
journaliste qui se dit en danger de mort, à briser le silence.
Tout remonte à l’époque où, Espoir Matomba, Premier
secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS), avait
emprunté une somme d’argent pour « résoudre des problèmes » pendant la campagne
de la présidentielle 2018.
Cette somme d’argent dont le montant n’est pas révélé,
lui avait été remise par Clarence Yongo, l’ex journaliste de Canal2
International, désignée à cette époque par Serge Espoir Matomba, pour être
sa directrice de communication pendant la présidentielle.
Bientôt trois ans, Clarence Yondo n’est toujours pas
parvenue à recouvrer sa créance. « J'ai appelé plusieurs fois le
"leader" qui m'a dit qu'il me revenait et a fait croire que je
quemandais. A la suite, il ne décrochait plus mes appels et les promesses de
remboursement faites devant témoin sont restées lettre morte », clamait
notre consœur dans un groupe WhatsApp, indiquant que depuis lors, elle n’a
essuyé que « insultes » et « menaces » de la part de
Mabomba.
Contacté, Serge Espoir Matomba va balayer d’un
revers de la main toutes ces accusations, martelant qu’il ne donnera pas écho à
une affaire dans laquelle il ne se reconnait pas. « S’il ya une dette
qu’elle se pointe devant les juridictions compétentes et je répondrai. Je ne
sais pas si on gère les histoires de dette dans les groupes WhatsApp », nous
répondra le candidat classé avant-dernier à l’élection présidentielle du 7
octobre 2018.
C’était le début d’un feuilleton dont l’épilogue ne
s’annonçait pas pour bientôt. Le 21 février 2020, trois individus (2 hommes et
1 femme), sont arrivés au bureau de Clarence Yongo.
Elle raconte elle-même la scène : "Pendant
que l'un des hommes se dirige vers la porte centrale, entre sans frapper et
demande à me rencontrer, les autres sont à l'extérieur et font le
guet. Étant en clientèle, l'homme aux lunettes noires veut absolument
savoir où me trouver. Il pose des questions de façon menaçante. L'un de
mes collaborateurs m'appelle et lui passe le téléphone. L'homme dit être à mes
trousses pour affaire urgente me concernant. Je lui réponds que je suis en
clientèle et qu'on peut prendre un rendez-vous. Mais évidemment mon
interlocuteur décline cette proposition. Trois jours plus tard, mon
collaborateur arrive à la PJ pour un reportage et rencontre sur son passage le
même monsieur aux lunettes noires qui feint ne pas le reconnaître. En
réalité, le pseudo leader de Bonaberi envoyait des éléments pour exercer un
trafic d'influence afin que je ne revendique plus mon argent. Il fallait alimenter
la frayeur pour que je me taise. Je devais garder le mutisme sur sa
filouterie. Pourtant quelques jours plus tôt, le politiRien prenait
engagement devant témoin de rembourser ce qu'il me doit.Mais que vaut la parole
d'un débiteur indélicat et multirécidiviste? L'engagement pris par un
"milliardaire" impécunieux n'a de valeur que le fond de sa poche
trouée.