Après la réponse de Muriel Blanche, Popoli démolit encore la comédienne !
Le journal Popoli est
connu pour ses sorties satiriques sur les célébrités camerounaises, et son
humour noir. Toutefois, leur humour décalé semble ne pas faire l’unanimité, et
il arrive que les cibles de leurs posts moqueurs réagissent à leurs excès.
Mais apparemment, ceci ne fait qu’accroitre leurs ardeurs !
Muriel Blanche n’avait apparemment apprécié d’être caricaturée
comme étant une vulgaire prostituée.
Elle avait ainsi fait une sortie dans laquelle elle a tenu à recadrer les
dessinateurs de Populi.
Loin de se démonter, ces derniers reviennent à la charge
avec des messages encore plus satiriques.
Aux extrémistes qui nous lisent à l’envers et décrètent des
fatwas débiles, contre nous: Nous rappelons qu’hier nous avons combattu et
vaincu la censure dans ce pays! ».
Ce texte est accompagné d’un dessin de Gunther Moss sur lequel on voit un
monsieur et une dame, armes menaçantes au poing contre des journalistes sur un
plateau du «Popoli Hebdo». Ce plateau réservé au Championnat d’Afrique des
Nations met en exergue Muriel Blanche, dont le fessier frappe une balle.
Les commentaires sur cette publication sont nombreux. Il y a ceux qui
félicitent le journal «Vive la liberté de la presse» dit EF, «Elles n’ont
encore rien vu. Si elles dérangent Le popoli Express tu enlèves le jogging que
l’autre là porte … tu laisses ce que tu veux… c’est ton crayon», commente CA. «Pas
seulement hier, même avant-hier. Qu’il se le tienne pour dit. On est où là ?»
interpelle AGM.
En face, nous avons une petite frange de lecteurs qui soutiennent Muriel
Blanche «Mon frère laisse même l’enfant là tranquille noh ? C’est de sa faute
si on ne connait pas ton visage au Cameroun ?», rétorque MC.
En rappel, cette histoire a démarré le 16 janvier. Le journal «Le Popoli» a
dressé une caricature de l’actrice et productrice Muriel Blanche, énonçant dans
son texte la promotion canapé. «Qu’un mercredi matin, le gouverneur Ivaha
Diboua se retrouve sur la pelouse du nouveau stade de Japon ne relève du
curieux. Mais que dans les jongleries avec Samuel Eto’o, une passe ait été
servie à une pulpeuse midinette aux formes libidineuses sorties d’on ne sait où,
tonne et détonne», pouvait-on y lire.