“J’AI ENTERRÉ MA MÈRE VIVANTE”, LES GRAVES RÉVÉLATIONS DE ABDOULAYE DIALLO QUI PARLE DE SACRIFICE (VIDEO)

L'abomination des crimes rituels en Afrique. Le sacrifice humain est une pratique qui date depuis la nuit des temps. Isaac le fils d’Abraham et Jésus-Christ sont des exemples que les religions enseignent. À travers cinq (5) œuvres littéraires africaines on découvre trois (3) fonctions des sacrifices humains : les fonctions euthanasique, juridique et économique. Trois exemples de sacrifices humains illustrent la fonction euthanasique : l’encéphalopathe Idafa dans Un sang fort de Wole Soyinka[2], les nauséabonds albinos dans Crépuscule des temps anciens de Nazi Boni et Labolo « l’enfant serpent » qui est probablement atteint de kwashiorkor dans La Princesse de Konkoliba.

Contrairement à ces trois victimes euthanasiques, Le Monde s’effondre présente un exemple de sacrifice qu’on peut classer dans la fonction juridique. Ikemefuna est sauvagement assassiné, sacrifié aux mânes des ancêtres pour un crime qu’il ignore. Au moment des faits, il était tout petit, il ne pouvait donc pas être de lié au meurtre de la femme dont le jugement le condamne à la mort. Cependant plusieurs marabouts, charlatans, féticheurs ont recours au sacrifice pour arriver au trone.

Voici le témoignage de ABDOULAYE DIALLO