'' Moi, Martial Owona je n’irai pas en exil sexuel. '' Le journaliste de la Vision 4 crucifie Valsero !

Réponse du berger à la bergère, servie par le journaliste Martial Owana sur le plateau de la Vision 4. Dans le cadre de l’émission « Tour d’Horizon » de ce 19 novembre 2020, le journaliste Martial Owona est longuement revenu sur les accusations de Valséro qui dans une vidéo ce mercredi le traitait de tribaliste et de journaleux.

Martial Owana ne s’est pas montré plus délicat pour répondre aux propos acerbes du rappeur engagé Valséro.

D’entrée en jeu, le journaliste est revenu sur les nombreux services rendus au rappeur.

« Souviens-toi que lorsque tu venais à Satellite FM, j’avais à peine 22 ans, je te donnais 300 FCFA pour prendre le taxi », a indiqué Martial Owona.

« Souviens-toi que pendant près de 3 semaines, lorsqu’il fallait allez manger à la pause de midi, c’est moi qui t’envoyais chez papa Enama derrière le dépôt de gaz SCTM au quartier Mvan à Yaoundé. Tu mangeais là-bas sous ma poche. Ne l’oublie pas ! Souviens-toi  de quand  tu commences à te shooter dans le chanvre, le père qui habitait derrière M. Enama, c’est là que tu commences à mélanger le Benson à l’herbe là. Ne me fais pas parler de toi Valsero. Je te respecte en tant que fils Eton, et tu es mon oncle chez les Eton… », a-t-il poursuivi.


Plus loin, il affirme que Valséro est en exil, en '' exil sexuel ''.  « Moi, Martial Owona je n’irai pas en exil sexuel. Avant de te retrouver avec la petite de l’Union européenne, tu as oublié celle qui était à la GIZ ! Tu as oublié qu’en face de Taxaco, lorsque vous vous rencontrez pour la première fois, c’est moi qui vous paie le pot ? », ajoute-t-il avant d’indiquer à son pourfendeur qu’il manque d’arguments.

Avant de conclure, sur un ton ironique : « Non… Valséro ne me parle pas ! Tu n’es pas né ! Avant de me parler, il faut que tu t’assures que tu as des arguments nécessaires… Valsero, tu as appris un jour que chez les Eton, un homme est parti en exil pour une femme ? « N’oublie pas que tu me dois 8000 FCFA du loyer de ta chambre que tu louais… Tu ne m’as jamais remboursé ».