Réussite : Ces stars qui sont quittées de zéro à héros

Villas luxueuses, avions privés, petit personnel, invitations aux plus grandes soirées de gala, avant de bénéficier de tous ces avantages de riches, certaines de nos célébrités préférées ont du faire du chemin. En effet, nombreuses sont les personnalités qui sont nées dans des familles en difficultés financières. Et ont dû se battre pour se frayer un chemin vers le sommet. Nous avons fait un tour dans le passé de nos héros et voici leurs histoires avant la richesse . Inspirez-vous…


Comment parler des stars qui ont briss après la souffrance sans parler de Magic System en Afrique Wanda People. A’Salfo, Manadja, Tino et Goudé, sont quatre mbom qui ont passé leur jeunesse dans les rues d’Anoumabo, quartier déshérités d’Abidjan. On les a vu dans leur premier son “Premier Gaou”. Les gars étaient tout maigres avec des “sans confiances” aux pieds. Mais les gars ont persévéré. Une anecdote ? “Notre premier producteur avait refusé de nous produire, ne croyant pas au projet (…). Les frais de transport d’Anoumabo au studio d’enregistrement nous ont été payés par des jeunes filles du quartier qui travaillaient dans des salons de coiffure“, raconte Tino. Ah Ça ! Les gars sortent de loin. Et ils ont même célébré leur 20 ans de carrière tout récemment.


Si on la voit aujourd’hui très belle et riche ça n’a pas toujours été le cas. La chanteuse américaine n’a pas toujours connu la belle vie. Nicki Minaj a eu une enfance difficile. Son père était accro à la cocaïne et à l’alcool. Il les battait régulièrement, elle, sa mère et ses frères. Dans une interview accordée au magazine américain Rolling Stone , elle avait confié : «Quand je suis arrivée en Amérique, je me mettais à genoux dans ma chambre et priais pendant des heures pour que Dieu me rende riche et que je puisse prendre soin de ma mère». Ses rêves ont été au final réalisés Wanda People. La rappeuse de 35 ans prend bien soin de sa famille et de sa mère, ceci loin de son père.


L’ex petite amie de Justin Bieber a elle aussi eu une enfance difficile. La chanteuse et actrice a grandi dans une famille aux revenus faibles. Sa mère l’a mise au monde à l’âge de seize ans, et l’a élevée seule après un divorce. “Je me souviens que ma mère n’avait presque jamais d’essence, alors on s’asseyait et on demandait de l’aide au premier passant parce qu’elle détestait demander de l’argent à mes grands-parents. La plupart de nos repas étaient des macaronis au fromage mais cela ne dérangeait pas ma mère.”A avoué Selena dans une interview à Perez Hilton. Aujourd’hui la jeune star est à l’abris du besoin pour de bon. Sa fortune est estimée à 46 millions de dollars soit environ 23 milliards de Fcfa. Eh oui la vie réserve de belles surprises !



On l’a vu marqué des buts, on l’a vu jubiler avec passion. Il a pleuré, il a ri. Il s’est bagarré, il a eu tort ou il a eu raison. Il a forgé sa légende, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, année après année. Il, c’est Samuel Eto’o Fils.
Né le 10 mars 1981 à Nkon, dans une banlieue de Yaoundé au Cameroun, Samuel Eto’o comme la plupart des enfants africains, apprend le football dans la rue. Il a fait ses premiers pas à Mvog-Ada, l’un des quartiers les plus pauvres de Yaoundé, la capitale du pays.



Fils du comptable David Eto’o et de Christine Eto’o, Samuel comme ses cinq frères et sœurs (Sidonie, Madeleine, Pauline, David et Etienne), a été inscrit à l’école. Mais le gamin aimait beaucoup pluse jouer au football.

Quand le papa perd son poste de comptable à Yaoundé, il ramène sa famille à Douala et s’installe à New Belle, quartier sensible de la cité portuaire après un éxil de quelques années. La misère guettait la famille, la panique s’installait mais, le petit Samuel ne trouve abri que dans le foot de rue.

Fan de Roger Milla, Eto’o se démarquait, déjà, à l’âge de 9 ans. Malgré la pression et l’injonction de sa mère Christine pour le persuader d’aller à l’école, le gamin obtempère mais ne se prive pour rien au monde de son loisir.

Il fallait le faire, lui, il veut absolument taper dans le ballon tout le temps et partout. Devant sa maison à New Belle, dans un amas de tôles à côté du centre religieux, il tient à s’y affirmer comme le plus fort du quartier. Aujourd’hui, ces premières arabesques sont immortalisées à la craie, sur le mur de quincaillerie : « Avenue Samuel Eto’o fils ».