Provoquée par Nathalie Koah, Marlène Emvoutou laisse éclater sa colère ! ‘’Je viendrai bagarrer avec toi dans ton magasin de strings ! ‘’

Crêpage de chignon en vue entre Marlène Emvoutou et Nathalie Koah. Bien que les deux femmes n’ont jamais été de grandes copines, la bataille dans laquelle elle se sont engagées sur les réseaux sociaux risque fort de se produire en vrai.
Dans un message incendiaire publié sur les réseaux sociaux, l’ex-candidate aux présidentielles de la Fecafoot, promet d’en découdre avec l’ex de Samuel Eto’o.

Dans une lettre adressée à Nathalie Koah et publiée sur sa page Facebook, Marlène Emvoutou accuse l'auteure de '' Revenge Porn '' d’avoir référencé son nom dans son site internet, pour la tourner en ridicule.

Raison pour laquelle Emvoutou n’a pas joué dans la délicatesse pour remettre à sa place son ennemie de toujours, et l’exhorte fortement à supprimer son nom de ses publications.

Voici l'intégralité sa publication :

‘’ Ma petite Nathalie Koah,
Je constate qu’à ton tour tu as décidé de référencer mon nom sur ton site internet que je découvre à l’instant …

Les recherches sur Marlene Emvoutou aboutissent désormais sur ton site internet où tu vends des strings, tes livres pour adultes et ta télévision imaginaire. Tu aurais pu écrire :” une femme en quête de visibilité sur Facebook a dit que j’ai plagié un livre». Tes lecteurs auraient deviné la personne indexée.

Mais, tu sais que mon nom est référence. Tu as décidé que je serais ton agent publicitaire pour t’attirer une catégorie de lecteurs qui ne s’intéressent pas à ce que tu fais. De nombreuses personnes ont toujours été curieuses de savoir ce qui nous oppose. Tu sais très bien que tu ne m’as jamais vu et nous n’avons rien en commun.

J’ai été courroucée de constater qu’au lendemain de mon passage à l’émission l’arène du 8 mars 2015, tu avais pondu un pamphlet sur ma personne qui a été repris par la presse. Alors que je n’étais pas au courant de ton histoire. Quand un journaliste m’a demandé de me prononcer sur les femmes qui envoient leurs photos nues à leurs amoureux.

J’ai dit ceci :” pour rien au monde, une femme ne doit échanger sa dignité contre quoique ce soit «. Phrase qui est devenue ton credo par la suite. Et je m’en réjouis. Cependant, ton nom était désormais référencé avec le mien sur les recherches Google.

Ton image sulfureuse associée à la mienne a créé la confusion auprès de mes contacts professionnels. Au point où certains s’amusent désormais à nous comparer. Je sais que certains camerounais meurent d’envie d’être cités sur tes plateformes au million d’abonnés. Ce qui n’est pas mon cas. J’ai 240 abonnés sur Facebook et 280 sur Instagram. Je ne suis pas une star des réseaux sociaux.

Mon actualité ayant relégué au dernier plan ces publications où mon nom était associé au tien, tu t’es créé un site internet dans lequel mon nom y est définitivement référencé avec celui d’un ministre de la République.’’