(VIDÉO) Olo Kpatcha très en colère contre Serge Beynaud : "Je ne veux plus entendre mon nom dans ta bouche sinon..."

Pendant que le coronavirus sévit très fortement sur la planète, certaines stars ont trouvé une autre façon à elles de faire plaisir à leurs fans et en même temps de s’occuper. Histoire de ne pas perdre le fil. C’est le cas de Serges Beynaud, qui, depuis son Studio d’enregistrement : Star Factory, s’est mué en Disc-jockey, à travers des hordes d’Atalaku Dj. 


Visiblement inspiré, le mannequin des arrangeurs, dans une animation Dj improvisée enchaîne les Atalaku. " Installez-vous les gars, ici, c’est le maquis "Le Confinement". On vous annonce l’arrivée de la Jet Set : Lino Versace, Boro Sandji et Molare… Champagne, cigare », dit-il à l’endroit des Boucantiers. Et Beynaud d’ajouter : « Olo Kpatcha ... Faites la place dans le Parking ", ironise l’arrangeur-chanteur.

En effet, il s’est à travers une vidéo, moqué l’ami du Yorobo reconverti en homme d’affaires, le traitant de portier (celui qui devrait faire de la place pour que les personne huppées puissent garer leurs bolides).


Cette déclaration de Serge Beynaud n'a pas manqué de faire réagir le fidèle ami de Dj Arafat, Olo Kpatcha. Frustré, il a tenu à répondre à l'artiste : " Mon petit frère Beynaud, je n’ai jamais eu d’histoire avec toi, je t’ai toujours respecté. Quand tu m’as connu à la Rue Princesse, j’étais manager et non une personne qui gare des voitures. Tu m’as toujours appelé grand frère ou vieux père à l’époque. Je ne t’ai jamais manqué de respect. Il faut donc me respecter ", a martelé Olo.

Avant d'ajouter : " La prochaine fois, je ne veux plus entendre mon nom dans ta bouche. Je suis dans mon coin, je ne veux pas avoir affaire à quelqu’un. Je ne suis pas chanteur pour dire que je vais faire buzz avec toi. Celui avec qui tu faisais le Buzz, n’est plus de ce monde. Laisse-moi tranquille dans mon coin en train de vendre mes poissons. Évite de me dénigrer sur les réseaux sociaux. Tu es un petit frère, je ne veux plus que ça se répète ", a laissé entendre Olo Kpatcha l’Empereur.